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Date de création : 06.08.2012
Dernière mise à jour :
18.08.2018
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Alimentation Santé Environnement Alimentation
ChefchaouenOuarzazate
Manger du poisson, c’est sain et c’est bon. Mais d’un autre coté, la surconsommation et la surpêche vident les océans et on craint une pénurie globale de poissons à un horizon assez proche.

Difficile pour le consommateur de s’y retrouver : d’un côté, on fait l’apologie du poisson qui a de grandes qualités nutritionnelles (et gustatives) mais à l’inverse, on tire la sonnette d’alarme car entre surpêche et pollution, 1 espèce de poisson sur 3 est menacée d’extinction…
Alors, quels poissons acheter pour éviter d’accentuer la désertification des océans ?Nous allons passer en revue, les différentes espèces de poisson : celles qu’on peut acheter sans crainte, celles à éviter et celles à consommer avec parcimonie.
Quels poissons acheter ?Il faut consommer du poisson au moins 2 fois par semaine pour une alimentation équilibrée en oméga-3, nous dit-on. Et de fait, nous en consommons 2 fois plus qu’en 1995 soit 16,3 kilos par habitant, ou 132 millions de tonnes (contre 20 millions en 1950). Les océans se vident de manière alarmante et certains scientifiques prévoient une pénurie de poisson pour 2050.
Consommation de poisson, que faire ? Faut-il continuer à acheter du thon, du cabillaud, de la dorade rose en voie de disparition ?
Si chaque Français choisit une fois dans l’année un produit parmi les espèces pérennes, cela aura un impact positif sur 18.000 tonnes de poisson. Chaque année, nous consommons, en France 2.226.000 tonnes de produits de la mer.
Alors comment se comporter ? Ne plus acheter de poissons ?
Cesser de manger du poisson n’est pas une solution mais en acheter moins et surtout en faisant le bon choix est plus réaliste.
Il est possible en choisissant les espèces, d’acheter du poisson et de le déguster sans participer à l’aggravation de la surpêche. Bien choisir, c’est aussi s’assurer que les poissons qu’on achète ne sont pas pollués car il arrive fréquemment qu’ils contiennent des toxiques (plastiques, métaux lourds, ….)
Il y a des critères généraux à connaître pour savoir comment acheter un poisson ou à l’inverse, pourquoi l’éviter. Comment sélectionner le bon poisson ? Il n’y a pas d’évaluation absolue, et donc d’accord unanime, pour décider si telle espèce de poisson est bonne à pêcher et à acheter ou pas par le consommateur. Par contre, l’on peut s’attacher à différents critères. Environnement: l’espèce de poisson est-elle en voie de disparition ? son « stock » est-il suffisant pour assurer le renouvellement de l’espèce ?
Taille: pour éviter de pêcher des poissons trop petits qui sont les futurs adultes qui pourront se reproduire, il faut respecter des tailles légales de pêche. S’agit-il de poisson d’élevage ? si oui, les conditions d’exploitation d’aquaculture sont-elles correctes ? Il faut savoir que pour certaines espèces l’aquacultureest pire que la pêche sauvage. Pourtant, l’aquaculture représente environ 50% de la « production » mondiale de poisson. Santé : s’agit-il d’une espèce exposée aux polluants qui peuvent menacer notre santé ? Le poisson est-il riche en oméga-3 particulièrement bon pour le coeur et faible en contaminants ? D’une manière générale, il faut choisir des poissons présentant de forts taux d’acides gras pour réduire les risques.
Pollution: le poisson est-il riche en mercure ou PCB ? Le poisson est la principale source de mercure à laquelle nous sommes exposés. Une équipe australo-américaine a conduit de nombreux prélèvements dans l’océan Pacifique nord, jusqu’à mille mètres de profondeur. Elle a constaté que la quantité de mercure présent dans les eaux de cet océan a grimpé de 30% depuis une vingtaine d’années. État de conservation : quel est l’historique du poisson proposé sur l’étal ? est-il frais et sain ?
Le mode de pêcheLa pêche à la dragueest pratiquée pour ramasser certains petits coquillages comme les praires. Mais cette pratique provoque de nombreux dégâts et est donc interdite dans les écosystèmes sensibles d’Europe, notamment dans la Mer de Wadden (Pays-Bas). Il vaut mieux choisir des poissons issus d’élevages qui respectent l’environnement (MSC, bio). Ne pouvant pêcher à la drague en Europe, certains pêcheurs la pratiquent dans les eaux de Mauritanie qui ne sont pas soumises à la juridiction européenne, nuisant ainsi à la fois à l’environnement mais aussi aux pêcheurs mauritaniens. Pour éviter d’encourager la pêche à la drague, n’achetez que des praires issues d’une pêche locale. Une fois sur l’étal, il n’est pas toujours facile de connaître l’origine et la fraîcheur d’un poisson. Voici quelques astuces très simples. Conseils pour choisir un poisson frais
Pour les filets, notamment des filets de sole ou de plie, vérifiez que la chair n’est pas jaunie, ce qui serait un indice que la chair est en train de pourrir. Vérifiez à l’odeur. Vérifiez les yeux: ceux-ci doivent rester brillants et non coulants ou opaques. Vérifiez que la peau est luisante et glissante. Vérifiez que les ouïessont bien d’une couleur rouge foncé. Vérifiez la consistancedu poisson : prenez-le en main. Le poisson doit avoir du « poids », être ferme et non mou.
Ces produits toxiques trouvent leur origine sur lescontinents et ont été transmis par les petites plantes et les petits animaux en bas de la chaîne alimentaires océanique. Ceux-ci sont mangés par des animaux plus grands qui concentrent dans leur chaire ces toxiques en quantité croissante, sans les éliminer. Certains prédateurscomme le requin ou le Grand espadon ou les fruits de mer sont particulièrement exposés aux contaminants. Il faut bien faire attention en les choisissant. Un poisson bio n’est pas un poisson sauvage : un poisson bio est un poisson issu de l’aquaculture de qualité. Voir l’article Le poisson sauvage est-il un poisson bio ?
Une équipe australo-américaine a conduit de nombreux prélèvements dans l’océan Pacifique nord, jusqu’à mille mètres de profondeur. Elle a constaté que la quantité demercure présent dans les eaux de cet océan a grimpé de 30% depuis une vingtaine d’années.
Du point de vue de contamination au mercure, il faut préférer les poissons marins.Pourquoi ? Parce que les poissons de mer sont moins contaminés que les poissons de rivière, notamment ceux qui sont proches des zones d’orpaillage clandestin. (Voir Alerte au mercure dans les poissons) En France, l’Affsa, Agence française de sécurité sanitaire des aliments (aujourd’hui appelée Anses) a émis une recommandation en 2002 à l’usage des femmes enceintes, leur conseillant de ne pas consommer plus de 150 grammes par semaine de poissons prédateurs de longue durée de vie (mammifères marins, daurade, thon, espadon, daurade, le requin). Les poissons sans risque On considère qu’un poisson totalement sans risque peut être mangé au cours de plus de 4 repas par mois Les poissons considérés comme tout à fait sains sont : > Anchois, palourdes, morue de l’Atlantique, crabe, écrevisses, haddock (chalut), hareng de l’Atlantique, homard, maquereau de l’Atlantique, moules, huîtres (d’élevage), pagre, saumon (en conserve), sardines, pétoncles, baie (d’élevage), crevettes.